
Voir un psy
Quand rien ne va plus, quand les pensées tristes s’accumulent et s’imposent à longueur de journée voire de nuits depuis déjà un bon moment, il est grand temps d’aller voir un psy.
Plusieurs options s’offrent à vous : celles proposées au grand public et celles spécifiques aux personnes qui, comme vous, sont suivies par un spécialiste hospitalier.
D’ailleurs, le médecin hospitalier qui vous a mis sous anticoagulants ne vous a-t-il pas déjà proposé de rencontrer le ou la psychologue du service ? Cette proposition n’est pas systématique, surtout si, à l’annonce de votre maladie et/ou de votre mise sous anticoagulant, vous avez fait « bonne figure » et n’avez pas montré la détresse qui montait peut-être en vous.
Quoi qu’il en soit, et que vous soyez sous anticoagulants depuis deux semaines ou 20 ans, vous pouvez, à l’occasion de votre prochain rendez-vous à l’hôpital, demander s’il est possible de rencontrer un psychologue.
Autres solutions, présentées sur le site Améli de l’Assurance maladie :
• bénéficier du dispositif « mon soutien psy », soit jusqu’à 12 séances d’accompagnement psychologique chez un psychologue partenaire, la séance coûtant 50 euros et étant remboursée à 60 % par l’Assurance maladie ;
• prendre un rendez-vous dans un centre médico-psychologique (CMP) qui assure des consultations entièrement prises en charge par l’Assurance maladie.
Certains d’entre vous ont-ils testé « mon soutien psy » ? Ou un autre type d’accompagnement ? Si vous voulez témoigner sur notre page FaceBook, n’hésitez pas, cela aidera peut-être quelqu’un à oser entreprendre ce genre de démarche.