
AVK, INR…
Révision de vocabulaire !
Lionel est depuis peu sous coumadine, un anticoagulant de la famille des antivitamine K (ou AVK). Il discute avec son ami Jean qui est sous préviscan depuis de longues années. Le vent emporte leurs paroles et certains mots nous ont échappés. Saurez-vous compléter leur dialogue ?
Par exemple, le mot qui manque dans la case 1 est… Lancez-vous ! Il y a parfois plusieurs réponses possibles…
Et maintenant, vérifiez que vous avez tout bon !
1 : Quand on prend de la Coumadine, du Préviscan ou du Sintrom (bref, un AVK ou Anti-Vitamine K), il faut surveiller son INR.
2 : Pour chaque personne, le médecin définit une zone thérapeutique, ou zone cible, c’est-à-dire un intervalle dans lequel doit se situer l’INR le plus souvent possible pour ne risquer ni caillot, ni saignement.
3 : Une personne qui ne prend pas d’AVK a un INR égal à 1.
4 : Lors de l’initiation d’un traitement par AVK, le médecin augmente progressivement la dose de médicament pour éviter tout surdosage.
5 : En attendant que l’AVK vous protège contre le risque de fabriquer un caillot – ce que l’on surveille en mesurant l’INR –, on fait des injections d’héparine.
6 : Les héparines n’ont pas d’impact sur l’INR.
7 : Une fois que l’INR est monté au-dessus de 2, cela veut dire que l’AVK vous protège suffisamment contre le risque de faire un caillot et on peut donc arrêter l’héparine…
8 : … et donc les injections ou piqûres.